Quelle ville pour demain ?
La prise de conscience environnementale et sanitaire, le coût énergétique, l’évolution des modes de vie, les exigences de qualité urbaine… aujourd’hui, tout concourt à reconsidérer les déplacements en ville. La voiture, reine de l’espace public au XXe siècle, négocie désormais sa place avec différents modes de transport, individuels, collectifs ou partagés, fondés sur des réseaux lourds ou l’aménagement de trames réservées aux piétons et aux cyclistes. En un mot, une mobilité plurielle, aiguillonnée par de nouveaux services et de nouveaux outils numériques.
Et c’est tout le paysage urbain qui s’en trouve modifié. À Nanterre, il suffit de repenser aux viaducs qui barraient l’horizon il y a encore une décennie et de contempler ce que sont devenues les Terrasses ou la place de La Boule pour comprendre que la ville de demain ne sera pas celle d’hier. Il faut aussi considérer le pôle d’échange multimodal que constitue désormais la nouvelle gare Nanterre-Université pour mesurer le chemin parcouru. Demain, ce sera au tour de l’échangeur A14/A86 de bénéficier d’une couverture végétalisée dans le prolongement du parc du Chemin-de-l’Île.
Et la ville ne compte pas s’arrêter là. Au-delà de l’attention qu’elle portera à leur insertion dans le paysage nanterrien et à leur développement, elle entend bien profiter de l’aménagement programmé de trois nouvelles lignes de transport en commun (RER E, Grand Paris Express et Tram 1) et de deux gares majeures pour poursuivre la dynamique engagée. Il s’agit tout à la fois de reconnecter des quartiers isolés par des coupures urbaines, de reconfigurer la ville à l’échelle et au temps de la marche (proximité des commerces et des services, qualité des espaces publics…) et de réduire la place attribuée à la circulation et au stationnement des voitures au profit d’une offre de mobilité élargie qui doit permettre de répondre à la diversité des besoins.
Et c’est tout le paysage urbain qui s’en trouve modifié. À Nanterre, il suffit de repenser aux viaducs qui barraient l’horizon il y a encore une décennie et de contempler ce que sont devenues les Terrasses ou la place de La Boule pour comprendre que la ville de demain ne sera pas celle d’hier. Il faut aussi considérer le pôle d’échange multimodal que constitue désormais la nouvelle gare Nanterre-Université pour mesurer le chemin parcouru. Demain, ce sera au tour de l’échangeur A14/A86 de bénéficier d’une couverture végétalisée dans le prolongement du parc du Chemin-de-l’Île.
Et la ville ne compte pas s’arrêter là. Au-delà de l’attention qu’elle portera à leur insertion dans le paysage nanterrien et à leur développement, elle entend bien profiter de l’aménagement programmé de trois nouvelles lignes de transport en commun (RER E, Grand Paris Express et Tram 1) et de deux gares majeures pour poursuivre la dynamique engagée. Il s’agit tout à la fois de reconnecter des quartiers isolés par des coupures urbaines, de reconfigurer la ville à l’échelle et au temps de la marche (proximité des commerces et des services, qualité des espaces publics…) et de réduire la place attribuée à la circulation et au stationnement des voitures au profit d’une offre de mobilité élargie qui doit permettre de répondre à la diversité des besoins.