À l’initiative des rencontres parents-enfants
Djamila Mazari au côté de son fils Wassim, Mimouna Nori (à droite), maman de Yasmine (au centre), et Aïcha Alaoui-Mrani
En quoi consistent les rencontres parents-enfants ?
Djamila Mazari : L’idée est de proposer aux parents d’enfants en situation de handicap un temps d’échange dont ils définissent eux-mêmes l’ordre du jour. Les thèmes abordés sont très concrets : les démarches à effectuer, les lieux ressources, la scolarisation, les sites de vacances accessibles… La mission handicap est là en soutien pour compléter les informations et organiser, si besoin, l’intervention de spécialistes. Pendant ce temps, les enfants profitent d’une animation, encadrés par des accompagnatrices. Eux aussi sont contents de se retrouver !
Commet est née cette initiative ?
Mimouna Nori : D’abord de la volonté de mettre à profit notre expérience. Nos enfants sont aujourd’hui adolescents ou jeunes adultes, nous avons donc déjà franchi un certain nombre d’étapes et nous pouvons faire gagner du temps aux jeunes parents. C’est aussi un moyen de les aider à se projeter dans l’avenir en les incitant à prendre soin d’eux-mêmes et du reste de la famille.
S’occuper de soi pour bien s’occuper des autres, c’est votre message ?
Aïcha Alaoui-Mrani : Oui, il faut apprendre à lâcher prise de temps en temps. Certains parents n’ont jamais été entendus et s’expriment pour la première fois, parfois avec beaucoup d’humour d’ailleurs… Il nous arrive souvent de passer du rire aux larmes, il y a beaucoup d’émotion ! En fait, chacun apporte à la fois son expérience, ses questions et ses compétences. Et nous essayons de trouver des solutions tous ensemble.
Djamila Mazari : L’idée est de proposer aux parents d’enfants en situation de handicap un temps d’échange dont ils définissent eux-mêmes l’ordre du jour. Les thèmes abordés sont très concrets : les démarches à effectuer, les lieux ressources, la scolarisation, les sites de vacances accessibles… La mission handicap est là en soutien pour compléter les informations et organiser, si besoin, l’intervention de spécialistes. Pendant ce temps, les enfants profitent d’une animation, encadrés par des accompagnatrices. Eux aussi sont contents de se retrouver !
Commet est née cette initiative ?
Mimouna Nori : D’abord de la volonté de mettre à profit notre expérience. Nos enfants sont aujourd’hui adolescents ou jeunes adultes, nous avons donc déjà franchi un certain nombre d’étapes et nous pouvons faire gagner du temps aux jeunes parents. C’est aussi un moyen de les aider à se projeter dans l’avenir en les incitant à prendre soin d’eux-mêmes et du reste de la famille.
S’occuper de soi pour bien s’occuper des autres, c’est votre message ?
Aïcha Alaoui-Mrani : Oui, il faut apprendre à lâcher prise de temps en temps. Certains parents n’ont jamais été entendus et s’expriment pour la première fois, parfois avec beaucoup d’humour d’ailleurs… Il nous arrive souvent de passer du rire aux larmes, il y a beaucoup d’émotion ! En fait, chacun apporte à la fois son expérience, ses questions et ses compétences. Et nous essayons de trouver des solutions tous ensemble.