Programmer Yoann Bourgeois à Nanterre est un joli coup. Cet artiste reconnu est l’invité des plus belles salles parisiennes : la Philharmonie, la Scala, le Théâtre de la Ville… Alors pour l’accueillir, la Maison de la musique lui offre sa grande scène – mais aussi ses couloirs, son hall, ses étages – deux soirs de suite pour le spectacle Minuit. Yoann Bourgeois a carte blanche pour proposer des installations-performances impromptues, un peu partout dans la Maison de la musique, à partir de 19h. Ici un jongleur accompagné au piano, là un équilibriste jouant avec le public… « Les deux soirées sont conçues comme un grand bazar heureux, nous dit le programmateur, chacun fera son parcours pour s’approprier les lieux. »
Après ce prologue en entrée libre, commence Minuit. Dans cette pièce créée en 2014, Yoann Bourgeois est tour à tour acteur, jongleur, acrobate, danseur. Il tente d’atteindre ce « point de suspension », après l’élan et avant la chute, aidé par des trampolines et des installations folles jamais dénuées de poésie et d’humour. Dans ses mouvements impressionnants, ses chutes douces et ses envolées irréelles, il est accompagné sur scène par une harpiste. Pour vous faire une idée de la magie de ce spectacle qui peut s’apprécier en famille, visionnez immédiatement la vidéo ci-contre où l’on voit Yoann Bourgeois tomber d’un escalier puis rebondir sur la musique de Philip Glass jouée à la harpe. Époustouflant !
Après ce prologue en entrée libre, commence Minuit. Dans cette pièce créée en 2014, Yoann Bourgeois est tour à tour acteur, jongleur, acrobate, danseur. Il tente d’atteindre ce « point de suspension », après l’élan et avant la chute, aidé par des trampolines et des installations folles jamais dénuées de poésie et d’humour. Dans ses mouvements impressionnants, ses chutes douces et ses envolées irréelles, il est accompagné sur scène par une harpiste. Pour vous faire une idée de la magie de ce spectacle qui peut s’apprécier en famille, visionnez immédiatement la vidéo ci-contre où l’on voit Yoann Bourgeois tomber d’un escalier puis rebondir sur la musique de Philip Glass jouée à la harpe. Époustouflant !