C’est un accident de voiture qui a amené Slyde à empoigner une canne et à composer avec elle un univers artistique inspiré de la culture hip-hop. Acrobate et danseur, Slyde a travaillé avec de grands chorégraphes comme Roland Petit et Bianca Li ; jongleur et mime, il a fait du théâtre de rue avant d’enseigner la danse aux enfants. À 40 ans passés, Slyde, devenu Slyde Lomalakane, a eu envie de créer un spectacle de A à Z. Grâce au dispositif des Premières Scènes hip-hop, ce Nanterrien a pu bénéficier d’une résidence de quatre jours à la Maison Daniel-Féry pour préparer le solo qu’il interprétera le 30 novembre. Toute ressemblance avec un certain Charlie Chaplin ne serait pas totalement fortuite !
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Slyde Lomalakane
