Son rêve : participer au Tournoi des Petit As, la prestigieuse compétition des moins de 14 ans qui a révélé Paul-Henri Mathieu, Richard Gasquet ou encore Rafael Nadal. Car Djamel-Dine Bey ambitionne bel et bien de marcher dans leurs pas et de devenir « numéro 1 mondial comme Roger Federer. C’est mon joueur préféré : il ne s’énerve jamais », explique, intimidé, le jeune Nanterrien. Tout juste récompensé par la Ligue de tennis du département pour sa place sur la troisième marche du podium 2016 des meilleurs joueurs de moins de 9 ans, il sait toutefois que le chemin sera long et semé d’embûches.
Depuis six ans et son arrivée sur les courts de tennis de la rue de Garches, il dédie tout son temps libre à la petite balle jaune. « Mon papa voulait me faire faire du sport et, à quatre ans, le seul que je pouvais pratiquer c’était le tennis », explique celui qui accumule dorénavant matchs et tournois.
Le tennis ? Une activité dans laquelle il s’est rapidement épanoui et qui est naturellement devenue une passion.
« Au réveil, dans la cour de récréation, dans sa chambre, du matin au soir, il mime la gestuelle des services, des coups droits et des revers », nous glisse son père, ancien entraîneur de basket chez les amateurs de Nanterre 92.
En moyenne, Djamel-Dine s’entraîne quatre fois par semaine sous la houlette de Julien Combe, le responsable du pôle compétition de la section tennis de l’ESN. Mais l’an prochain, alors qu’il fera sa rentrée au collège, le rythme s’accélèrera. Très bon élève, Djamel-Dine intègrera en effet une section sport-étude avec quatre autres licenciés Nanterriens. Une première pour le club !
Depuis six ans et son arrivée sur les courts de tennis de la rue de Garches, il dédie tout son temps libre à la petite balle jaune. « Mon papa voulait me faire faire du sport et, à quatre ans, le seul que je pouvais pratiquer c’était le tennis », explique celui qui accumule dorénavant matchs et tournois.
Le tennis ? Une activité dans laquelle il s’est rapidement épanoui et qui est naturellement devenue une passion.
« Au réveil, dans la cour de récréation, dans sa chambre, du matin au soir, il mime la gestuelle des services, des coups droits et des revers », nous glisse son père, ancien entraîneur de basket chez les amateurs de Nanterre 92.
En moyenne, Djamel-Dine s’entraîne quatre fois par semaine sous la houlette de Julien Combe, le responsable du pôle compétition de la section tennis de l’ESN. Mais l’an prochain, alors qu’il fera sa rentrée au collège, le rythme s’accélèrera. Très bon élève, Djamel-Dine intègrera en effet une section sport-étude avec quatre autres licenciés Nanterriens. Une première pour le club !