Les joueurs du Racing 92 entreront dans l’arène le 22 ou le 23 décembre face au Stade toulousain. Comment vous préparez-vous ?
Laurent Labit : On attend ça depuis longtemps et ce doit être un nouvel élan. En passant du stade Yves-du-Manoir de Colombes à la U Arena, on va changer de monde. Nous allons désormais évoluer à domicile sur une pelouse synthétique – ce qui est déjà le cas au centre d’entraînement du Plessis-Robinson – et sous un toit fermé. Pour découvrir l’enceinte et nous approprier ce nouvel environnement, nous avons prévu d’aller nous entraîner à Nanterre le plus souvent possible d’ici le match. Il faut que l’équipe se sente bien chez elle.
Qu’est-ce que la dimension spectaculaire de cette nouvelle enceinte implique pour le rugby ?
L. L. : C’est une nouvelle dimension qui s’offre à nous, l'ambiance des stades fermés est incroyable et il est évident que le spectacle y occupera une place importante. Pour autant, il ne faudra pas perdre le fil rugbystique. Les conditions vont être idéales tout au long de la saison, même au cœur de l’hiver. Le jeu va gagner en rythme et en vitesse ce qui implique un travail différent sur le plan physique et tech- nique pour préparer les joueurs à affronter des séquences de jeu plus longues et plus intenses.
Après avoir soulevé le Bouclier de Brennus à Barcelone en 2016, le Racing 92 a vécu une saison difficile avec la perte du titre de champion de France et une élimination en phase de poules de la Coupe d'Europe. Quels sont vos objectifs pour la saison à venir ?
L. L. : Nous sortons d’une saison éprouvante, mentalement et physiquement. L'avant-saison, réduite à trois semaines en raison de la finale tardive du TOP 14, n'avait pas permis aux joueurs de se constituer le foncier nécessaire, ni à l'équipe de se régler. Le premier objectif est de remettre un cadre, de la rigueur et de l’exigence. Une fois cet état d’esprit retrouvé, il sera temps d’évoquer les objectifs chiffrés de la saison.
Laurent Labit : On attend ça depuis longtemps et ce doit être un nouvel élan. En passant du stade Yves-du-Manoir de Colombes à la U Arena, on va changer de monde. Nous allons désormais évoluer à domicile sur une pelouse synthétique – ce qui est déjà le cas au centre d’entraînement du Plessis-Robinson – et sous un toit fermé. Pour découvrir l’enceinte et nous approprier ce nouvel environnement, nous avons prévu d’aller nous entraîner à Nanterre le plus souvent possible d’ici le match. Il faut que l’équipe se sente bien chez elle.
Qu’est-ce que la dimension spectaculaire de cette nouvelle enceinte implique pour le rugby ?
L. L. : C’est une nouvelle dimension qui s’offre à nous, l'ambiance des stades fermés est incroyable et il est évident que le spectacle y occupera une place importante. Pour autant, il ne faudra pas perdre le fil rugbystique. Les conditions vont être idéales tout au long de la saison, même au cœur de l’hiver. Le jeu va gagner en rythme et en vitesse ce qui implique un travail différent sur le plan physique et tech- nique pour préparer les joueurs à affronter des séquences de jeu plus longues et plus intenses.
Après avoir soulevé le Bouclier de Brennus à Barcelone en 2016, le Racing 92 a vécu une saison difficile avec la perte du titre de champion de France et une élimination en phase de poules de la Coupe d'Europe. Quels sont vos objectifs pour la saison à venir ?
L. L. : Nous sortons d’une saison éprouvante, mentalement et physiquement. L'avant-saison, réduite à trois semaines en raison de la finale tardive du TOP 14, n'avait pas permis aux joueurs de se constituer le foncier nécessaire, ni à l'équipe de se régler. Le premier objectif est de remettre un cadre, de la rigueur et de l’exigence. Une fois cet état d’esprit retrouvé, il sera temps d’évoquer les objectifs chiffrés de la saison.