Tout d’abord, bravo pour vos deux premiers buts en Ligue 1, contre l’OM et Angers.
La saison démarre fort, non ?
Sada Thioub : Merci, je suis content d’avoir marqué ! Je commence ma première véritable saison en L1, à Nice je n’étais pas titulaire. À Nîmes, l’équipe est super motivée depuis la montée, le public pousse fort derrière nous. Maintenant il faut continuer, le plus dur c’est d’être régulier pour viser le maintien en L1.
Vous avez grandi à Nanterre, aux Canibouts puis au Pablo, des quartiers qui comptent de bons joueurs. Comment êtes-vous sortis du lot ?
S. T. : Grâce au mental, il ne faut jamais lâcher et avoir confiance en soi. Mes parents m’ont toujours soutenu, surtout quand je suis entré à 16 ans au centre de formation à Caen. J’ai toujours tout donné aux entraînements et je continue de le faire. Cette année, je dois améliorer la finition devant le but, le jeu de tête… Je travaille dur.
À quoi ressemble la vie d’un joueur de foot professionnel de 23 ans ?
S. T. : Je m’entraîne tous les jours et je m’astreins à une hygiène de vie stricte. À Nîmes, je vis dans un appartement, il fait beau et la ville est agréable. Les gens ont le sens de la fête et la Feria en est la preuve ! Le soir, je vois les copains du club, on joue à des jeux vidéos. Comme tout le monde, en fait ! De temps en temps, je reçois de la visite des potes de Nanterre et de la famille.
Revenez-vous de temps en temps à Nanterre ?
S. T. : Oui, régulièrement. Je suis rentré lors de la petite trêve de septembre. Je vois les amis avec qui j’ai grandi et ma famille qui vit toujours au Pablo. Je garde de très bons souvenirs de mon enfance à Nanterre, on était plusieurs à rêver de jouer un jour au Parc des princes. J’attends avec impatience la rencontre face au PSG, en février prochain.
La saison démarre fort, non ?
Sada Thioub : Merci, je suis content d’avoir marqué ! Je commence ma première véritable saison en L1, à Nice je n’étais pas titulaire. À Nîmes, l’équipe est super motivée depuis la montée, le public pousse fort derrière nous. Maintenant il faut continuer, le plus dur c’est d’être régulier pour viser le maintien en L1.
Vous avez grandi à Nanterre, aux Canibouts puis au Pablo, des quartiers qui comptent de bons joueurs. Comment êtes-vous sortis du lot ?
S. T. : Grâce au mental, il ne faut jamais lâcher et avoir confiance en soi. Mes parents m’ont toujours soutenu, surtout quand je suis entré à 16 ans au centre de formation à Caen. J’ai toujours tout donné aux entraînements et je continue de le faire. Cette année, je dois améliorer la finition devant le but, le jeu de tête… Je travaille dur.
À quoi ressemble la vie d’un joueur de foot professionnel de 23 ans ?
S. T. : Je m’entraîne tous les jours et je m’astreins à une hygiène de vie stricte. À Nîmes, je vis dans un appartement, il fait beau et la ville est agréable. Les gens ont le sens de la fête et la Feria en est la preuve ! Le soir, je vois les copains du club, on joue à des jeux vidéos. Comme tout le monde, en fait ! De temps en temps, je reçois de la visite des potes de Nanterre et de la famille.
Revenez-vous de temps en temps à Nanterre ?
S. T. : Oui, régulièrement. Je suis rentré lors de la petite trêve de septembre. Je vois les amis avec qui j’ai grandi et ma famille qui vit toujours au Pablo. Je garde de très bons souvenirs de mon enfance à Nanterre, on était plusieurs à rêver de jouer un jour au Parc des princes. J’attends avec impatience la rencontre face au PSG, en février prochain.