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ne des préoccupations premières des Français est l’emploi. On le comprend, car le travail permet bien sûr de s’assurer un revenu, de pouvoir accéder à un logement, mais aussi parce qu’il permet la socialisation.
Tous les gouvernements qui se sont succédé ces dernières années avaient promis de faire baisser le chômage sans y parvenir, mais tous ont organisé la précarisation de l’emploi et favorisé l’exclusion du travail d’une partie importante de la population active. La « Loi travail », rejetée par une majorité de Français, inspirée par le nouveau président de la République, a participé également à la casse du code du travail et de notre modèle social. Ce qui n’est pas de bon augure pour la suite.
Car on le sait, les exonérations de cotisations sociales patronales ou le CICE (crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi) ne profitent pas à l’emploi. Elles ne concernent pas ou peu les petites et moyennes entreprises, et les plus grosses du CAC 40 en ont profité pour augmenter les dividendes des actionnaires, 56 milliards au total pour 2016, 13 milliards de plus qu’en 2015, voire organiser les plans sociaux.
Toutes ces politiques « pour l’emploi » menées dans le cadre du libéralisme économique ont échoué.
Bien que l’emploi ne soit pas une compétence des communes, une des préoccupations majeures du maire et de l’équipe municipale est de créer les conditions du maintien ou de la création d’emplois sur Nanterre.
Nous avons le souci dans toutes nos opérations d’aménagement de la ville, dans nos politiques publiques, de permettre la création d’emplois nouveaux, avec l’implantation de commerces de proximité ou en facilitant l’installation d’entreprises ou de sièges sociaux de groupes industriels.
Dans le même temps, il est important de permettre aux personnes privées d’emploi depuis de nombreuses années de pouvoir être accompagnées pour redémarrer une activité professionnelle formatrice.
C’est tout l’effort que fait Nanterre en agissant pour l’insertion par l’emploi, le développement de l’économie solidaire et en favorisant l’installation de centres de formation.
À Nanterre, ce sont près de 150 000 heures d’insertion qui ont été effectuées en 2016 dont 34 000 avec les chantiers de rénovation urbaine. La construction de l’ARENA a permis de réaliser au total depuis le lancement du chantier 140 000 heures d’insertion alors que l’objectif initial était de 100 000 heures.
La compétence acquise par la ville dans ce domaine fait que Nanterre coordonne pour l’ensemble des acteurs du chantier du prolongement du RER Éole les clauses d’insertion pour les départements des Yvelines et des Hauts-de-Seine.
Ainsi la ville de Nanterre, avec ses compétences et malgré des moyens financiers diminués par les gouvernements successifs, continue d’agir pour l’emploi.
Tous les gouvernements qui se sont succédé ces dernières années avaient promis de faire baisser le chômage sans y parvenir, mais tous ont organisé la précarisation de l’emploi et favorisé l’exclusion du travail d’une partie importante de la population active. La « Loi travail », rejetée par une majorité de Français, inspirée par le nouveau président de la République, a participé également à la casse du code du travail et de notre modèle social. Ce qui n’est pas de bon augure pour la suite.
Car on le sait, les exonérations de cotisations sociales patronales ou le CICE (crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi) ne profitent pas à l’emploi. Elles ne concernent pas ou peu les petites et moyennes entreprises, et les plus grosses du CAC 40 en ont profité pour augmenter les dividendes des actionnaires, 56 milliards au total pour 2016, 13 milliards de plus qu’en 2015, voire organiser les plans sociaux.
Toutes ces politiques « pour l’emploi » menées dans le cadre du libéralisme économique ont échoué.
Bien que l’emploi ne soit pas une compétence des communes, une des préoccupations majeures du maire et de l’équipe municipale est de créer les conditions du maintien ou de la création d’emplois sur Nanterre.
Nous avons le souci dans toutes nos opérations d’aménagement de la ville, dans nos politiques publiques, de permettre la création d’emplois nouveaux, avec l’implantation de commerces de proximité ou en facilitant l’installation d’entreprises ou de sièges sociaux de groupes industriels.
Dans le même temps, il est important de permettre aux personnes privées d’emploi depuis de nombreuses années de pouvoir être accompagnées pour redémarrer une activité professionnelle formatrice.
C’est tout l’effort que fait Nanterre en agissant pour l’insertion par l’emploi, le développement de l’économie solidaire et en favorisant l’installation de centres de formation.
À Nanterre, ce sont près de 150 000 heures d’insertion qui ont été effectuées en 2016 dont 34 000 avec les chantiers de rénovation urbaine. La construction de l’ARENA a permis de réaliser au total depuis le lancement du chantier 140 000 heures d’insertion alors que l’objectif initial était de 100 000 heures.
La compétence acquise par la ville dans ce domaine fait que Nanterre coordonne pour l’ensemble des acteurs du chantier du prolongement du RER Éole les clauses d’insertion pour les départements des Yvelines et des Hauts-de-Seine.
Ainsi la ville de Nanterre, avec ses compétences et malgré des moyens financiers diminués par les gouvernements successifs, continue d’agir pour l’emploi.