N
ous saluons les Nanterriens qui ont pris part à la lourde défaite de l’extrême droite au second tour de la présidentielle en votant pour Emmanuel Macron.
Pour ces électeurs, pour les abstentionnistes et ceux qui ont mis un bulletin blanc ou nul et pour les autres assurons-nous que le mandat du nouveau président, à qui nous adressons nos félicitations, réponde à la demande de renouveau formulée par les Français.
Assurons-nous également que l’écologie politique et citoyenne puisse fortement peser sur la politique du nouveau gouvernement.
L’ancien président Hollande a toujours eu une vision court-termiste et productiviste de l’environnement ; le fameux accord de Paris sur le climat issu de la COP 21 n’a d’ailleurs en rien changé cette conception. Et le nouveau chef de l’État est resté bien incertain sur le sujet à la différence de son combat pour l’Europe.
Il faut relever que leur commune formation à l’École nationale d’administration – ENA – leur a délivré des enseignements en matière de management public mais bien peu en termes d’écologie.
Alors qu’est-ce qu’une vraie démarche écologique ? Cela nécessite d’avoir une vision à long terme cohérente et globale. Cela nécessite aussi et surtout d’admettre que l’écologie doit être un élément structurant de toutes les politiques publiques et économiques. Pour ce faire, l’environnement ne devrait pas être rattaché à un ministère spécifique même dirigé par une forte personnalité comme Nicolas Hulot mais être un domaine régalien du président de la République au même titre que les Affaires étrangères ou la Défense.
Cette approche n’est qu’un préalable car un projet de société écologiste va plus loin en prônant la réduction des inégalités, la limitation de tous les impacts de l’activité humaine sur la biodiversité et le climat, en affirmant la primauté de la qualité de vie sur les revenus financiers.
L’actualité de tous les jours ne fait d’ailleurs que confirmer l’urgence de la prise en compte de cette démarche tant au niveau du réchauffement climatique, de la mauvaise voie empruntée dans le nucléaire au détriment des énergies renouvelables que de la pollution atmosphérique qui nous étouffe.
Alors face à ces défis et à bien d’autres qui vous touchent, les 11 et 18 juin ne vous abstenez pas, allez voter.
Pour ces électeurs, pour les abstentionnistes et ceux qui ont mis un bulletin blanc ou nul et pour les autres assurons-nous que le mandat du nouveau président, à qui nous adressons nos félicitations, réponde à la demande de renouveau formulée par les Français.
Assurons-nous également que l’écologie politique et citoyenne puisse fortement peser sur la politique du nouveau gouvernement.
L’ancien président Hollande a toujours eu une vision court-termiste et productiviste de l’environnement ; le fameux accord de Paris sur le climat issu de la COP 21 n’a d’ailleurs en rien changé cette conception. Et le nouveau chef de l’État est resté bien incertain sur le sujet à la différence de son combat pour l’Europe.
Il faut relever que leur commune formation à l’École nationale d’administration – ENA – leur a délivré des enseignements en matière de management public mais bien peu en termes d’écologie.
Alors qu’est-ce qu’une vraie démarche écologique ? Cela nécessite d’avoir une vision à long terme cohérente et globale. Cela nécessite aussi et surtout d’admettre que l’écologie doit être un élément structurant de toutes les politiques publiques et économiques. Pour ce faire, l’environnement ne devrait pas être rattaché à un ministère spécifique même dirigé par une forte personnalité comme Nicolas Hulot mais être un domaine régalien du président de la République au même titre que les Affaires étrangères ou la Défense.
Cette approche n’est qu’un préalable car un projet de société écologiste va plus loin en prônant la réduction des inégalités, la limitation de tous les impacts de l’activité humaine sur la biodiversité et le climat, en affirmant la primauté de la qualité de vie sur les revenus financiers.
L’actualité de tous les jours ne fait d’ailleurs que confirmer l’urgence de la prise en compte de cette démarche tant au niveau du réchauffement climatique, de la mauvaise voie empruntée dans le nucléaire au détriment des énergies renouvelables que de la pollution atmosphérique qui nous étouffe.
Alors face à ces défis et à bien d’autres qui vous touchent, les 11 et 18 juin ne vous abstenez pas, allez voter.