D
epuis le 1er janvier 2018, un nouvel établissement public dénommé Paris-La Défense, sous-tutelle du département des Hauts-de-Seine, remplace l’Établissement public d’aménagement de La Défense Seine-Arche (Epadesa), présidé ces quatre dernières années par le maire de Nanterre, Patrick Jarry.
La création de ce nouvel établissement public n’a pas été sans débat. L’enjeu essentiel étant le périmètre d’aménagement de ce nouvel établissement public. Le texte de loi initial prévoyait de limiter son champ d’intervention au périmètre historique de La Défense, à l’intérieur du boulevard circulaire en forme de poire.
Reniant ses engagements, le gouvernement, avec l’appui notamment du vote à l’Assemblée nationale d’Isabelle Florennes, nouvelle députée (La République En Marche) de Nanterre-Suresnes, a donné la possibilité à Paris-La Défense d’interférer dans l’aménagement d’un tiers du territoire de Nanterre et, en particulier, sur l’aménagement du futur quartier des Groues. Cela traduit la volonté de la droite, avec le soutien de notre députée, d’élargir le quartier d’affaires sur les Groues et aussi de remettre en cause le projet du 11e quartier de Nanterre dans sa dimension humaine et sociale, avec une mixité adaptée.
S’il le faut, une fois de plus, avec les Nanterriens, nous nous opposerons fermement à toute tentative qui empêcherait la ville de Nanterre et ses élus de poursuivre leurs projets pour une ville pour tous. La droite locale, conduite par madame Bedin, s’est également illustrée au dernier conseil de territoire Paris-Ouest-La Défense (Pold) à l’occasion du vote du budget. Son représentant local, Gilles Norroy, a voté, avec ses amis de droite radicale d’autres villes, un budget qui se traduit par le refus de faire prendre en charge par le territoire intercommunal une partie du financement des projets politiques de la ville de Nanterre. Il a refusé d’écouter l’appel à la solidarité porté par des élus de droite éclairés.
Ce financement est désormais sectorisé, c’est-à-dire à la charge de la ville de Nanterre, alors que la politique de la ville est la première compétence obligatoire de l’intercommunalité. Il s’agit là d’une remise en cause radicale de l’accord qui était intervenu l’an dernier, et s’était traduit pour Nanterre par un financement de Pold d’environ 800 000 euros.
Voilà des faits qui montrent le vrai visage de la droite et de la nouvelle députée qui, pour des intérêts partisans, agissent à l’encontre de l’intérêt général et des moyens d’action pour les quartiers populaires et pour poursuivre le développement et la transformation de Nanterre.
Vous pouvez compter sur notre détermination pour que Nanterre continue sa transformation et reste une ville humaine et sociale.
La création de ce nouvel établissement public n’a pas été sans débat. L’enjeu essentiel étant le périmètre d’aménagement de ce nouvel établissement public. Le texte de loi initial prévoyait de limiter son champ d’intervention au périmètre historique de La Défense, à l’intérieur du boulevard circulaire en forme de poire.
Reniant ses engagements, le gouvernement, avec l’appui notamment du vote à l’Assemblée nationale d’Isabelle Florennes, nouvelle députée (La République En Marche) de Nanterre-Suresnes, a donné la possibilité à Paris-La Défense d’interférer dans l’aménagement d’un tiers du territoire de Nanterre et, en particulier, sur l’aménagement du futur quartier des Groues. Cela traduit la volonté de la droite, avec le soutien de notre députée, d’élargir le quartier d’affaires sur les Groues et aussi de remettre en cause le projet du 11e quartier de Nanterre dans sa dimension humaine et sociale, avec une mixité adaptée.
S’il le faut, une fois de plus, avec les Nanterriens, nous nous opposerons fermement à toute tentative qui empêcherait la ville de Nanterre et ses élus de poursuivre leurs projets pour une ville pour tous. La droite locale, conduite par madame Bedin, s’est également illustrée au dernier conseil de territoire Paris-Ouest-La Défense (Pold) à l’occasion du vote du budget. Son représentant local, Gilles Norroy, a voté, avec ses amis de droite radicale d’autres villes, un budget qui se traduit par le refus de faire prendre en charge par le territoire intercommunal une partie du financement des projets politiques de la ville de Nanterre. Il a refusé d’écouter l’appel à la solidarité porté par des élus de droite éclairés.
Ce financement est désormais sectorisé, c’est-à-dire à la charge de la ville de Nanterre, alors que la politique de la ville est la première compétence obligatoire de l’intercommunalité. Il s’agit là d’une remise en cause radicale de l’accord qui était intervenu l’an dernier, et s’était traduit pour Nanterre par un financement de Pold d’environ 800 000 euros.
Voilà des faits qui montrent le vrai visage de la droite et de la nouvelle députée qui, pour des intérêts partisans, agissent à l’encontre de l’intérêt général et des moyens d’action pour les quartiers populaires et pour poursuivre le développement et la transformation de Nanterre.
Vous pouvez compter sur notre détermination pour que Nanterre continue sa transformation et reste une ville humaine et sociale.