L
es périodes de forte chaleur telles que nous les avons vécues cet été, en Europe et un peu partout dans le monde, seront de plus en plus fréquentes. Ces extrêmes provoquent sécheresses, incendies et pics de consommation d’électricité à travers le monde.
La vague de chaleur extrême, que l’Europe a subie depuis le mois de mai 2018, de la Scandinavie à la Grèce, est un phénomène de réchauffement dû aux activités humaines. D’ailleurs, le continent européen n’est pas le seul touché par la canicule : l’Algérie, la Suède, mais aussi l’agglomération de Montréal, et encore, près du cercle polaire. Toutes ces contrées ont subi une hausse de température entre 32 et 50 degrés Celsius, durant l’été. En Californie, un parc a été évacué alors qu’un incendie a ravagé complètement le site. Au Japon, un grand nombre d’habitants a été hospitalisé à cause de la chaleur étouffante.
L’atmosphère et les océans se sont réchauffés, des quantités de neige et de glace ont fondu et le niveau de la mer a beaucoup augmenté. En même temps, la fonte de l’Antarctique menace les zones basses côtières. Ce glacier, constitué du tassement des chutes de neige accumulée qui, en fondant, peut basculer dans l’océan et provoquer l’élévation du niveau de toutes les mers du monde en causant des dégâts.
Ce n’est certes pas la fonte de cette glace qui fait craindre le pire, car elle repose déjà sur l’eau, mais c’est bien le risque que derrière les barrières, l’écoulement du glacier ne s’accélère et ne s’emballe. Le phénomène devient inquiétant car la quantité de glace qui disparaît, chaque année, de toutes les barrières de l’Antarctique, a atteint un rythme presque trois fois plus élevé qu’auparavant. Aujourd’hui, la quantité de glace perdue, annuellement, atteint un poids de l’ordre de 219 milliards de tonnes !
L’Antarctique fond rapidement et cela représente une menace pour des centaines de millions de personnes vivant dans des zones basses côtières. Une hausse du niveau des mers se profile et cela paraît inévitable… La question qui se pose est : quelle sera l’ampleur quant aux risques qui se profilent dans le monde entier… ?
C’est une vraie question qui nous interpelle ; nous devons tous y méditer !
Le ministère de la Transition écologique et solidaire a, toujours et encore, beaucoup de travail à faire.
La vague de chaleur extrême, que l’Europe a subie depuis le mois de mai 2018, de la Scandinavie à la Grèce, est un phénomène de réchauffement dû aux activités humaines. D’ailleurs, le continent européen n’est pas le seul touché par la canicule : l’Algérie, la Suède, mais aussi l’agglomération de Montréal, et encore, près du cercle polaire. Toutes ces contrées ont subi une hausse de température entre 32 et 50 degrés Celsius, durant l’été. En Californie, un parc a été évacué alors qu’un incendie a ravagé complètement le site. Au Japon, un grand nombre d’habitants a été hospitalisé à cause de la chaleur étouffante.
L’atmosphère et les océans se sont réchauffés, des quantités de neige et de glace ont fondu et le niveau de la mer a beaucoup augmenté. En même temps, la fonte de l’Antarctique menace les zones basses côtières. Ce glacier, constitué du tassement des chutes de neige accumulée qui, en fondant, peut basculer dans l’océan et provoquer l’élévation du niveau de toutes les mers du monde en causant des dégâts.
Ce n’est certes pas la fonte de cette glace qui fait craindre le pire, car elle repose déjà sur l’eau, mais c’est bien le risque que derrière les barrières, l’écoulement du glacier ne s’accélère et ne s’emballe. Le phénomène devient inquiétant car la quantité de glace qui disparaît, chaque année, de toutes les barrières de l’Antarctique, a atteint un rythme presque trois fois plus élevé qu’auparavant. Aujourd’hui, la quantité de glace perdue, annuellement, atteint un poids de l’ordre de 219 milliards de tonnes !
L’Antarctique fond rapidement et cela représente une menace pour des centaines de millions de personnes vivant dans des zones basses côtières. Une hausse du niveau des mers se profile et cela paraît inévitable… La question qui se pose est : quelle sera l’ampleur quant aux risques qui se profilent dans le monde entier… ?
C’est une vraie question qui nous interpelle ; nous devons tous y méditer !
Le ministère de la Transition écologique et solidaire a, toujours et encore, beaucoup de travail à faire.